Après la réforme Sarkozy-Fillon, la réforme Hollande-Ayrault. La forme change, mais le fond reste: travailler plus longtemps pour éponger le déficit. Comme si le chômage des seniors n’existait pas, que la productivité du travail n’avait pas augmenté, que l’espérance de vie en bonne santé n’était pas en baisse…
Personne ne croit que cette réforme règlera le problème du financement des retraites. Comme toutes celles mises en places par la droite, elle repousse l’échéance en accentuant la pression sur les travailleurs.
L’UDB Jeunes livre dans son nouveau numéro de Koulmig des pistes pour une véritable réforme, en replaçant la question des retraites dans celle de l’emploi et de la productivité.